La flamme est supplice,
mais tellement délicieuse dans sa beauté mortifère
que j’aime me perdre dans cette rythmique grisante mêlée d’approches et de replis ;
Et dans la beauté fragile et éphémère de cet instant d’éveil
le temps, figé à en être palpable
se fait enveloppant comme un amant lunaire
Termes…
Entre ciel et terre,
Entre pierres et eau…
Où l’impermanence joue avec l’éternité.
Où, aux détours d’un recoin de roche,
Le monde se rétrécie à l’immensité sauvage…
20 décembre 2007
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L’ouvrage que je veux partager avec vous est un petit recueil de 52 photographies du photographe Willis Ronis, mais pas seulement !
Comme le dis si bien l’artiste : « J’ai la mémoire de toutes mes photos, elles forment le tissu de ma vie et parfois, bien sûr, elles se font des signes par-delà les années. Elles se répondent, elles conversent, elles tissent des secrets. ».
Chaque cliché est en effet accompagné d’un petit texte racontant l’origine et le contexte de la photographie,
La voûte s’éclaire
Tout se fige, temps suspendu
Et libère la pluie
14 avril 2009
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C’est avec fierté que j’annonce que la B.U technologique de Nantes accueillera du 24 septembre au 26 octobre 2012 ma première exposition : « Les racines du ciel…The way you made me seen trees «
Et au rythme de mon cœur
Cette mélodie
Comme la caresse d’un rayon de soleil
Juillet 2010
J’aimerais partager aujourd’hui une découverte… Un artiste belge originaire d’Antwerp (Anvers pour les francophones).
kooookooookooookoooo
Les trois premières sont des travaux photographiques, les trois autres des peintures acryliques.
Il y a, dans ses portraits et ses nues féminins, une force, une pureté et une sensualité. Ils évoquent un subtil équilibre entre déesses mères primitives et êtres féeriques du « petit peuple »;
Le temps est un illusionniste ;
Il joue aux rythmes
Des battements de nos cœurs.
15 juillet 2010
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D’ambre et d’opale,
Ma flamme, ma damnation ;
D’ambre et d’opale.
Gestes retenues,
Mots étouffés,
D’un trésor je suis captive.
De l’ambre d’une courbe,
De l’opale d’un instant.
Avril 2011
J’entends des sons d’un blanc de neige,
étouffés et léthargiques ;
J’aimerais que mon hiver s’achève.